Thursday, July 31, 2014

TRES BON SOLO GUITARE JAZZ

While still attending college Kenny Burrell made his first recordings as a member of Dizzy Gillespie's sextet in the early 1950s.

 

The guitarist has since recorded prolifically and currently teaches a class studying the life and music of Duke Ellington at UCLA.

 

Happy birthday Kenny, from Jazz on the Tube.

 

Video:

 

http://www.jazzonthetube.com/page/26999.html

 

CONSTRUCTION OF THE JEWISH NATION RAV KOOK ZATSAL

“The world order that is now toppling due to the awesome storms of a sword covered with blood demands the construction of the Israelite nation. The building of the nation and the discovery of its spirit are one concept, linked to the building of the world.”

-Rav Kook, ZATSA’L (‘HaMilchama/The War’ Chapter 9)

 

Wednesday, July 30, 2014

ALL OF ME LYRICS

Gerald Marks and Seymor Simmons wrote this one and it was a #1 chart topping hit for both Louis Armstrong and the Paul Whiteman Orchestra in 1932. Among the hundreds of renditions of the tune over the year, two, one by Benny Carter and one by Billie Holiday, stand out. Lyrics All of me

 

Why not take all of me Can't you see I'm no good without you

Take my lips I want to loose them Take my arms I'll never use them

Your goodbye Left me with eyes that cry How can I go on dear without you

 You took the part That once was my heart So why not take all of me All of me

 Why not take all of me Can't you see I'm no good without you Take my lips I want to loose them

Take my arms I'll never use them Your goodbye Left me with eyes that cry How can I go on dear without you

 You took the best So why not take the rest Baby, take all of me –

 

 See more at: http://www.jazzonthetube.com/videos/johnny-hodges/all-of-me-2.html#sthash.CbebQi0V.dpuf

ALL OF ME

It is amazing how very different a

saxophone can sound depending on how

it's played and who's playing it.

 

An extremely expressive instrument indeed.

 

On that note here's another beautiful solo from the saxophone of Johnny Hodges. 

 

Video:

 

http://www.jazzonthetube.com/page/963.html

 

 

Monday, July 28, 2014

QUESTIONS REPONSES RAV AVINER

Rav Chlomo Aviner Chlit"a

 

la Yechiva Ateret Jerusalem recherche traducteur hebreu / francais bénévole

des questions-réponses du Rav Chlomo Aviner - #282

 

Piské Chlomo

[Sélection de Questions/Réponses via SMS]

 

Les kidnappés

Q : Que puis-je faire pour contribuer à l'unité étonnante qui s'est faite au moment des trois kidnappés ?

R : Dire à tout le monde que ce que nous avons en commun est plus important que ce qui nous sépare. Il y a d'ailleurs une unité autrement plus étonnante : dans Tsahal !

 

Aide à Tsahal

Q : Quelles actions spirituelles peut-on faire pour que Tsahal soit victorieuse et que la situation revienne au calme ?

R : Techouva, téfilla, tsédaka.

 

Alerte au milieu de la téfilla des Dix-Huit Bénédictions [Chmoné-essré]

Q : Si j'entends une alerte au milieu du Chmoné-essré, que dois-je faire ?

R : Courir à l'abri. 1/ C'est un danger de mort. 2/ Marcher ou courir sans parler n'est pas considéré comme une interruption, et c'est permis en cas de besoin, par exemple si on ne se souvient plus de "Yaalé véyavo" par cœur et qu'on va chercher un siddour (Michna Broura 104/2. 'Piské Techouvot' sur place. 'Ness Léhitnossès', à la fin des Quest/Rép du Rav Itzhak Silberstein sur la Guerre du Golfe, §39 – MTs).

 

Destruction du Gouch Katif

Q : Faut-il pardonner à Arik Sharon l'évacuation du Gouch Katif, ou le juger selon le din ?

R : Le juger selon le din, mais un jugement authentique doit prendre en compte toutes les actions de la vie.

 

Opération "Rocher Inébranlable"

Q : Est-ce que le Hamas est l'envoyé d'Hachem pour nous faire expier nos fautes ? Et sinon, pourquoi existe-t-il, et pourquoi Hachem ne s'en débarrasse-t-il pas pour faciliter la vie au peuple d'Israël ?

R : Pour la même raison qu'il y a des méchants et des assassins dans le monde depuis des milliers d'années, depuis Caïn (Voir le livre du Rav 'Végavar Israël', sur le problème du mal dans le monde, et du juste confronté aux malheurs – MTs).

 

"Il ne tombera pas de missiles dans la ville…"

Q : Un Rav a dit que dans une certaine ville il ne tomberait pas de missiles. Peut-on s'appuyer sur son opinion et ne pas s'abriter là-bas dans un espace protégé ?

R : Le din est qu'il faut obéir aux instructions du Commandement du Front Intérieur. Mais posez la question directement à ce Rav (J'ai vu qu'il a dit de descendre aux abris pour partager l'inconfort du peuple d'Israël. Voir Rachi sur Exode 17/12 – MTs).

 

Voyage dans le Sud et "Rocher Inébranlable"

Q : Si nous allons faire une voyage dans le sud, est-ce une transgression de 'Vénichmartem' [Vous prendrez soin de vos vies ; Deutéronome 4/15] ?

R : Seulement si c'est contraire aux instructions du Commandement du Front Intérieur.

 

"Rocher Inébranlable" et Thora dans un but intéressé

Q : Si j'étudie la Thora pour me protéger des missiles, est-ce que cela s'appelle 'faire usage' de la Thora ?

R : Non. Cela s'appelle étudier "dans un but intéressé" (Voir 'Néfech Hahayim', section 4. Quest/Rép 'Yéhavé Daat' 3/73 – MTs).

 

L'armée

Q : Comment peut-on aller à l'armée ? Dans 'Chaaré Techouva' (3/51) il est écrit qu'il est interdit de se lier à un 'racha' [impie], même pour une mitsva !

R : Dans ce cas il t'est interdit d'aller à l'armée, car "celui qui traite son ami de 'racha', l'autre a le droit de lui rendre la vie impossible". Kiddouchin 28a. S'il en est ainsi, comment te donner ce grand mérite d'être à l'armée ?

 

Tirs de missiles

Q : Est-ce que celui qui sort de chez lui au moment d'un tir de missiles transgresse "Vous prendrez le plus grand soin de vos vies" ?

R : Il y a une obligation de se conduire en toutes circonstances selon les instructions des forces de sécurité, et de s'abstenir de faire le malin.

 

"Rocher Inébranlable"

Q : Est-ce que dans la période présente il faut avoir peur, lire des Téhillim et faire des prières, comme on se doit de crier et d'implorer pour tout malheur, ou faut-il ne pas se laisser impressionner et continuer la routine, dire que tout cela n'est rien, afin de montrer que nous ne nous soumettons pas à la terreur et qu'ils ne réussissent pas à nous effrayer ?

R : Il faut continuer avec force et énergie, dans la situation de guerre où nous sommes depuis la création de l'État ; mais même un brave prie Hachem, comme le fit Yaacov notre père : "Des cadeaux, des prières et des préparatifs de guerre" (Rachi sur Genèse 32/9 – MTs).

 

Aide à Tsahal

Q : Que puis-je faire pour que Tsahal soit victorieuse ?

R : 'Techouva', 'Téfilla', 'Tsédaka'. Il est certain que Tsahal sera victorieuse, mais on peut espérer que ce soit plus rapide, et que le prix soit moins lourd.

 

Les Arabes

Q : Est-ce que tout Arabe doit être considéré comme un assassin potentiel qu'il faut tuer le premier ?

R : Dieu nous en préserve !

 

Dormir en abri

Q : M'est-il permis de dormir dans l'abri avec mon mari et d'autres hommes ?

R : Oui. Dans un coin.

 

"Rocher Inébranlable" – prières supplémentaires

Q : Faut-il ajouter des paroles à la téfilla en raison de la situation ?

R : Ce n'est pas nécessaire, car la guerre avec nos ennemis est la situation habituelle depuis la création de l'État.

 

"Ma force et la puissance de mon bras"

Q : Est-ce que ce qui est écrit dans le verset : "Tu diras : 'ma force et la puissance de mon bras m'ont procuré toute cette richesse'" [Deutéronome 8/17] est un commandement ?

R : Oui d'après le 'Ran', Drachot 11 ; mais en rappelant tout d'abord que c'est Hachem qui donne la force de la réussite.

 

Mort aux terroristes

Q : Est-il permis de dire : "mort aux Arabes" ?

R : Non, mais: "mort aux terroristes", ou "mort aux assassins".

 

Opération "Rocher Inébranlable" et voyage dans le Sud

Q : J'habite dans le Sud, puis-je aller pour une bar mitsva au Kotel, alors qu'il tombe des missiles à Jérusalem et dans le Sud ?

R : Le risque est nul. Il faut y aller, sauf s'il y a une instruction contraire du Commandement du Front Intérieur (Voir 'Pit'hé Techouva', Yoré Déah 157 – MTs).

 

"Rocher Inébranlable" et état d'alerte le Chabbat

Q : Je suis susceptible d'être appelé en cas d'état d'alerte pendant Chabbat. Est-ce que je dois prendre sur moi de rester à la base, ou m'est-il permis d'aller dans ma famille vendredi ?

R : Tu peux y aller. Il est permis de se mettre soi-même dans une situation où on sera obligé de profaner Chabbat en cas de 'pikouah néfech'. C'est seulement pour celui qui prend la mer sur un bateau que les Sages décidé ce qu'ils ont décidé, et ils n'ont pas appliqué ce décret quand le voyage est motivé par une mitsva (Choulhan Aroukh, 'Orah Hayim' 248/4 – MTs).

 

"Rocher Inébranlable" – la femme et la mobilisation de son mari réserviste

Q : Je n'ai pas été mobilisé en tant que réserviste, mais j'ai une possibilité d'y aller. Cependant ma femme s'y oppose. Que dois-je faire ?

R : Décidez-le ensemble.

 

Se réjouir de l'opération "Rocher Inébranlable" ?

Q : Devons-nous nous réjouir qu'il y ait la guerre ?

R : Non. La guerre est une mauvaise chose. Mais si la guerre nous est imposée, nous devons nous réjouir d'être victorieux.

 

"Rocher Inébranlable" : voir les tirs de missiles

Q : Est-il permis de sortir pour voir les tirs, ou est-ce se mettre en danger ?

R : Tout doit être fait selon les instructions du Commandement du Front Intérieur.

 

Ennemis tués au cours de "Rocher Inébranlable"

Q : Est-il permis de se réjouir des ennemis tués ou [faut-il appliquer :] "De la chute de ton ennemi ne te réjouis pas" [Proverbes 24/12] ?

R : Il est évident que nous préfèrerions qu'ils fassent techouva, mais s'ils nous attaquent, nous nous réjouissons qu'ils tombent (Voir le livre 'Ech Kodech' p.28). "De la chute de ton ennemi…" n'est pas dit au sujet d'un ennemi méchant et malfaisant. Guémara Méguilla (16a). "Et de la perte des méchants on se réjouit" (Proverbes 11/10 – MTs).

 

Se réjouir de "Rocher Inébranlable"

Q : Est-il possible de se réjouir que des civils non impliqués dans les combats soient tués par Tsahal ?

R : Non. Mais pour les terroristes et les assassins, oui.

 

"Rocher Inébranlable" et exercices le Chabbat

Q : Est-il permis de faire un exercice d'appel de soldats par téléphone le Chabbat ?

R : Oui.

 

"Rocher Inébranlable" / période de malheurs

Q : Est-ce que ces jours sont définis à notre époque comme une période de malheurs pour la halakha ?

R : Non. Nous vivons une époque de bénédiction et de salut.

 

"Rocher Inébranlable" et radio le Chabbat

Q : Est-il permis dans le Sud de laisser la radio allumée le Chabbat sur 'Gal Chéket' ?

R : Oui. Pour les besoins du 'pikouah néfech' [la protection des vies].

 

"Rocher Inébranlable" et 'maasser kessafim' [la 'dîme de tsédaka']

Q : Est-il permis d'utiliser le 'maasser kessafim' pour acheter des repas aux soldats ?

R : Oui, s'ils manquent de nourriture – ce qui ne semble pas être le cas. Mais pas pour acheter des sucreries et ce genre de choses.

 

"Rocher Inébranlable" et mobilisation le Chabbat

Q : Si on me téléphone le Chabbat pour me mobiliser comme réserviste, m'est-il permis de répondre ?

R : C'est une obligation de répondre.

 

"Rocher Inébranlable" et 'Bein Hametsarim'

Q : Est-il bon de s'engager dans une opération militaire pendant 'Bein Hametsarim' [entre le 17 Tammouz et 'Ticha Béav'] (Choulhan Aroukh, 'Orah Hayim' 551/1) ?

R : C'est une mitsva, et "celui qui s'occupe d'une mitsva ne connaîtra pas de malheur" [Chabbat 63a].

 

"Rocher Inébranlable" – yéchiva ou volontariat 

Q : Que vaut-il mieux, continuer d'étudier ou faire du volontariat dans le Sud ?

R : Tu as l'obligation de poser la question à ton directeur d'études lui-même.

 

Alerte nocturne

Q : Que dois-je faire s'il y a une alerte nocturne et que je suis en pyjama ?

R : Il faut s'habiller rapidement de manière à avoir une tenue décente, et courir à l'abri. Le mieux est de dormir avec ses vêtements.

 

Rapport sociométrique

Q : Est-il permis, à l'armée ou dans le civil, de remplir un rapport sociométrique sur des collègues ?

R : Oui. C'est du "lachon hara" [une forme de médisance] pour une fin utile, ce qui est permis et ce qui est même une mitsva. 'Hafetz Hayim', 'Rékhilout', principe 9. Mais il faut faire attention : 1/ De ne dire que la vérité et de la manière la plus précise. 2/ De donner une image d'ensemble. 3/ De ne parler que de faits bien avérés, et non de rumeurs (Voir le livre 'Hamorim Békéchet' du Rav Mishaël Rubin §187 – MTs).

 

Tsitsith faits à la machine

Q : Est-ce que les tsitsith faits à la machine sont cachers ou faut-il absolument qu'ils soient tressés à la main ?

R : Les tsitsith faits à la main, c'est une 'houmra' [une mesure de piété supplémentaire]. Mais les tsitsith faits en machine sont cachers, car tout ce qui est mis en marche par l'homme est considéré comme une action de l'homme, et il dit alors : 'léchem mitsvat tsitsith' ['au nom de la mitsva de tsitsith'] (Quest/Rép 'Éretz Tsvi' 1/5. Piské Techouvot 11/2 – MTs).

 

Médisance et risque de perte d'emploi

Q : Est-il permis de dire du 'lachon hara' (médisance) pour se protéger du risque de perdre son emploi ?

R : Non. Il est interdit de transgresser cet interdit même si cela entraîne une perte d'argent. 'Hafetz Hayim', 'Lachon Hara' 1/6.

 

Doute sur une bénédiction

Q : Si je doute d'avoir fait une certaine bénédiction ou non, que dois-je faire ?

R : Faire la bénédiction en pensée, car de cette manière on ne dit pas le Nom d'Hachem en vain, mais d'autre part on s'acquitte de son obligation quand on ne peut pas faire autrement. Pri Mégadim (Introduction aux Halakhot sur les Bénédictions, §B. Et beaucoup d'autres décisionnaires. Piské Techouvot 209/7/2 – MTs).

 

 

è Voir près de 5000 questions-réponses du Rav sur : www.havabooks.co.il

è Voir la [Rav] 'Avinerpédia' des cours du Rav sur : http://shlomo-aviner.net/index

            [en hébreu]

 

Pour Poser vos questions en Francais au Rav Avner et recevoir ses reponses en video, veuillez cliquer ci-dessous:

http://shlomo-aviner.net/index.php?title=Les_cours_video_du_Rav_Chlomo_Aviner_chlit%22a

 

Thursday, July 24, 2014

THE GIRL FROM IPANEMA

Voici des fruits des fleurs des feuilles et des branches

Et puis voici mon cœur qui ne bat que pour vous

Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches.

 

Souvenir du 12  Juin

Je reviens de Belgique et suis bien arrive en Israël

David

 

http://www.youtube.com/watch?v=R36MkpRVBXw

 

 

Monday, July 21, 2014

THE DYING WEST AGAINST ISRAEL

From Berkeley to Boston and from Paris to Sydney, the season is upon us again. Hipsters twirl  Keffiyahs from some Shanghai factory around their necks, don army surplus jackets and Decembrist t-shirts and head to the nearest Israeli embassy to scream about a new Holocaust.

Shiites and Sunnis temporarily put aside their blood feuds and entire families of Syrian Alawites and
Turkish Sunnis stand in London or Berlin screaming "Death to the Jews".

Joining them are elderly Trotskyists and aging Stalinists, normally as mutually hostile as Shiites and Sunnis, who put aside their differences to feebly wave cardboard signs about the Zionist war machine.

Fake blood is everywhere. Aspiring art students who can't draw try to figure out new ways of intersecting a Swastika and a Star of David. Latuff cartoons are printed out along with bloody photos  of dead people from Syria, Hollywood horror movies and on the rare occasion, Gaza, and shoved in everyone's faces.

The organizers take a break from submitting angry Truth Dig articles about Brazilian cocoa exploitation and dive headfirst into a rally that, unlike all their other rallies, the media will actually cover. They prowl the police barriers like hungry hyenas looking for a reporter.
On the last few struggling Pacifica affiliates, Amy Goodman invites Noam Chomsky to talk about the war. Chris Hedges phones in to promote his new book, which is only 90 percent plagiarized from a Hemingway novel he thought he once read. Max Blumenthal shows up to lead a Students for Justice in Palestine protest while shouting about colonialism. Then he tags himself on Instagram.

At the Israeli embassy, the hipsters imagine that they're guerrilla fighters. They scream themselves hoarse about oppression, duck into a Starbucks, come out with a few cinnamon lattes and then begin screaming again. Recruiters for the International Socialist Organization, the World Revolutionary Front, the International Workers Fourth Front Uprising and the always popular Brotherhood of Revolutionary Workers and Peasants push smeared pamphlets into their pockets hoping for a bite.

Joseph Massad mounts the stage to explain that Zionism is the real Anti-Semitism. Muslims in the crowd begin chanting that Mohammed's army is coming back. "O Jews, O Jews," they scream. Rage Boy is somewhere among them. They are all Rage Boy now.

An old Trotskyist waves a sign quoting Marx's slur that the god of the Jews is money. But he changed it to Zionists so it's not anti-Semitic anymore.

 

Finally the puppets are raised up. They might be of Netanyahu or Rabin. Sometimes they do double duty as Harper or Cameron. Now their blood-soaked suits have been decorated with stars of David to avoid confusing anyone unsure of who the generic white male with vampire teeth might be.

An agent for the Iranian regime goes to the microphone to denounce the nuclear Apartheid that is preventing Iran from getting the bomb. Old CNDers who spent their twenties screaming about the madness of plunging the world into atomic death cheer him on. Quakers who are old enough to have stood in the Red Square holding up signs denouncing American militarism nod along.

A Hijabi in dark glasses and heavy makeup positions her mouth a centimeter away from the microphone and shrieks that her family is being murdered in Gaza even though she's from the UAE and a member of one of its more powerful families. The POC students she "organizes" the campus janitors with shake their firsts in the air. "People power! People power!"

A member of Jewish Voices for the Utter Destruction of Israel staggers up next. She's a Sarah Lawrence grad and a top lawyer from a family of top lawyers going back six generations. Her sister is the rabbi of a temple in Beverly Hills. Her son is somewhere in the crowd wearing a Hamas t-shirt.

"Not in my name," she screams.

And she can't think of anything else to scream, so she screams it again.

The cops, from New York to Berlin to London, yawn and scratch their stomachs. They've had it up to here. They don't care anymore.The hipsters try picking fights with them, taking their photos and screaming in their faces. Angry 90 pounds girls, their faces screwed up in hate, spit at their polished shoes.

Eventually a small group of pro-Israel protesters, teenage boys and girls with large flags and a few old men pass by. The crowd gasps in outrage and like a maddened beast surges toward them.

"Khaybar Khaybar Ya Yahood," cry the Muslims. "Down with Zionist Supremacism," scream the Marxists. "Death to the Jews," shouts everyone else.

To the side a small group of befuddled men dressed in what most passerby inaccurately think is Hassidic fashion stand holding signs that they can't read. Once a week they are each paid twenty dollars or euros and bussed from their community to hold signs denouncing Israel. The signs and the website are produced by a small group of Marxist activists funded by Iran.

Their leader, the only one of them who can even read the signs, claims to be a Rabbi, though he's actually an international con artist who owes money to a dozen banks across Europe.

He shouts something into the microphone, but the crowd is restless. A Palestinian slam poet shoves him aside and chants about hate and suffering, blood and oppression. The poet is replaced by a drum circle. The drum circle is replaced by a live phone call from Alice Walker. Alice Walker is replaced by a sign language activist silently delivering her own speech that no one can understand.

In the back of the crowd, they start burning Israeli flags. Bored Yemeni teenagers peel off to throw stones at a synagogue. The Marxists get into an argument over the Fourth International. Someone begins loudly reading their own self-published poetry through an unauthorized megaphone. ISIS sympathizers fly the black flag of the Jihad over the crowd where it tangles with a Hezbollah flag.

Punches and kicks are thrown. Sunnis and Shiites pull each other's beards. "Comrades, comrades," an elderly leftist cries, but no one pays any attention to him. "Revolution," the hipsters yell.

The cops break it up. The crowd turns on the cops. The reporters go home and report none of it except the condemnations of Israel and the police brutality. The Hijabi appears in almost all of the photos where she is described as a Palestinian refugee. The conservative blogs that dig up her Facebook profile and prove that she's a liar are stubbornly ignored by the New York Times, The Daily Mirror and the Sydney Morning Herald.

It's another fine day in the dying West.

CHAUFFEUR ARABE ASSASSINE JUIVE ISRAELIENNE

La police israélienne a déclaré, dimanche, que Shelley Dadon, âgée de 19 ans, dont le corps avait été retrouvé sur un parking de Migdal Ha’emek, en début mai, a été assassinée par son chauffeur de taxi, Hussein Youssef Khalifa, âgé de 34 ans, qui a avoué et reconstitué son assassinat. Le service de sécurité du Shin Bet pense que le motif de cet assassinat est nationaliste.

Dadon a quitté son domicile d’Afula, pour un entretien d’embauche à Migdal Ha’emek. Son corps avait été retrouvé quelques heures plus tard, vers 3 heures de l’après-midi, le 2 mai. Voyant des blessures au couteau sur tout son corps, la police avait demandé des renforts conséquents. .

L’assassin de Shelly, Hussein Youssef Khalifa.

L’enquête de police a démontré que le jour de son meurtre, Yaacov, le père de Shelly l’avait conduite au carrefour d’Afula Illit, d’où elle devait voyager par bus vers Migdal Ha’emek. Elle était supposée participer à un entretien d’embauche dans la zone industrielle de Ramat Gavriel, mais n’y est jamais parvenue. Pour ce qu’en sait la police, Dadon est arrivée au centre-ville, puis a pris un taxi, ce qui s’est avéré fatal, pour elle.

Durant le trajet du taxi, on pense qu’une dispute a éclaté entre Shelly et Khalifa. Selon le communiqué du gouvernement, on pense que Khalifa a conduit Shelly vers le parking abandonné, aux abords de la zone industrielle, où il l’a sauvagement poignardé 17 fois, puis il a déposé le corps, ensuite, retrouvé par la police.

Khalifa, arête le 16 juin, travaillait pour un service de navette de taxis, à l’intention des travailleurs des usines de Migdal Ha’emek. L’enquête a démontré qu’après avoir assassiné Shelly Dadon, Khalifa s’est éloigné de la scène de’ crime en voiture, a nettoyé le sang présent dans sa voiture, a jeté son téléphone et a poursuivi sa route vers le village arabe de Beit Zarzir, dans le nord d’Israël. Si le motif exact doit encore être déterminé, le Shin Bet maintient qu’il s’agissait bien d’un crime terroriste.

Depuis le jour du meurtre, les sources policières affirmaient que l’enquête poursuivait la piste du motif « nationaliste », mais, plus tard, l’enquête a changé de direction, vers la piste criminelle. Du fait du premier motif invoqué, le Shin Bet a joué un rôle déterminant dans l’investigation.

Au lendemain des funérailles, la police a arrêté un certain nombre de Bédouins de Basse-Galilée, après qu’ils aient utilisé une carte de crédit appartenant à Shelly Dadon et le Ministre de la Sécurité Publique, Yitzhak Aharonovich a fait allusion, au cours d’une cérémonie d’offres de condoléances à la maison familiale, qu’on s’attendait à des « évolutions dramatiques ». Mais, après une enquête qui a duré plusieurs semaines, les six suspects ont été relâchés, la police finissant par accepter qu’ils aient simplement trouvé cette carte de crédit et qu’ils ne semblaient pas avoir de lien direct avec le meurtre.

La police a poursuivi ses investigations intensives, en examinant, entre autres choses, les séquences des nombreuses caméras de surveillance appartenant aux commerces de la zone industrielle et en retraçant les différentes étapes possibles de Shelly. A ce stade, a appris Ynet, les suspicions ont augmenté, concernant l’implication du taxi dans son assassinat.

“Les enquêteurs ont investi toutes leurs énergies dans cette direction, en surveillant des dizaines, si ce ne sont des centaines de taxis dans cette zone”, selon un responsable de la police.

En définitive, les enquêteurs ont resserré la focale sur l’un des taxis et des chauffeurs, en particulier, et c’est ainsi que l’enquête a pu s’achever. Le taxi a été localisé et, bien qu’il ait été méticuleusement nettoyé, les tests du laboratoire ont pu établir un lien entre le chauffeur et le meurtre.

 

“Même s’il n’avait pas avoué ni reconstitué le crime, nous étions en mesure de le traîner en Justice sur le fondement de ces découvertes et d’autres preuves recueillies au cours de la période d’enquête ».

Le chef du district du Nord, le Général-Major Zohar Dvir, a informé les parents de Shelly de l’arrestation de Khalifa, peu de temps après sa mise en détention.

“J’espère vraiment qu’on est arrivé au bout, cette fois”, a déclaré Ya’acov Dadon, “et que cette partie au moins est derrière nous. Notre vie ne redeviendra jamais ce qu’elle était avant, aussi, au moins, les assassins n’errent pas dans les rues ».

La détention de Khalifa a été prolongée lundi. Mais, avant que l’audition ne commence, il niait toute implication dans le meurtre. « Je ne l’ai pas tuée » répétait-il aux journalistes, au Tribunal. « Je ne sais pas ce qu’ils me veulent. Je travaillais dans le secteur et ils me sont tombés dessus. Je n’ai jamais vu cette fille et je ne la connais pas ».

Youssef Khalifa, le père du tueur, a tout démenti en bloc, au nom de son fils et a même prétendu – à l’inverse des déclarations de son fils – que son fils ne travaillait plus comme chauffeur de taxi depuis sept ans, parce qu’il a des problèmes de vue.

“Peut-être est-il encore enregistré par la compagnie de taxi comme quelqu’un qui travaille là, mais il est en incapacité », affirmait son père. « Il ne quitte la maison qu’une fois par semaine pour aller pointer au bureau de chômage ».

“Il ne ferait pas de mal à une mouche, si on lui dit : “Va t’en !”, il préférerait baisser la tête et dire « merci ». C’est ce qu’il a appris de sa mère et de moi. Je ne veux pas croire ce qu’ils disent de lui, comme ayant avoué et reconstitué ce crime. C’est absurde. Mon fils n’a jamais prononcé un seul mensonge de toute sa vie. C’est un saint. Mon fils est un lâche et peut-être l’ont-ils menacé ».

En réalité, Khalifa a un passé marqué par la violence.

Lui et son frère Hasib ont exécuté une peine de 8 mois de prison en 2005, pour avoir agressé des huissiers de Justice, venus chez eux sous mandat de la municipalité d’I’Billin. Le père et ses deux fils ont menacé les huissiers et, lorsqu’ils sont arrivés avec des renforts, les Khalifa les ont assaillis physiquement.

Le greffe du Tribunal mentionne qu’Hussein a donné un coup de couteau à la main d’un des huissiers, et que son frère Hasib, l’a attaqué avec une pierre projetée dans le poumon. Le second huissier a aussi été poignardé et a reçu des coups. Les deux hommes ont plaidé coupable, mais prétendu être intervenus pour défendre leur père.

 

Wednesday, July 2, 2014

CAIN'S CALIPHATE WAS BUILT ON BONES

After Cain killed his brother, the Lord told him, "A fugitive and a wanderer shalt thou be in the earth."

But the natural order has been reversed, instead the Abels, if they survive, become homeless
wanderers and the Cains build their Caliphates on the tombs of their victims.

"Cursed shall you be from the earth," the Lord said, and so it has been. 

The earth under their feet may be cursed, it yields nothing but sand and thistles, but they are nomads, forgetting agriculture, remembering only their tradecraft of murder. They become worshipers of death dreaming of the green verdant fields of paradise which they can reach only if they kill enough men, women and children.

Leaving devastation behind them, dead lands, lost cultures, widows and orphans, they claw their way up to heaven on a ladder of bones.

Everything around them dies until the only green is on their flags. They are cursed from the earth and they curse the earth. Where they go, the world dies.

It is not murder that makes it impossible for Abel to live with Cain says the State Department, says the European Union and says the New York Times. It is Abel's fields and houses that provoke Cain.

The PLO formed a unity government with Hamas and the loud voice of consensus, the voice of men who imagine that they become god when they speak in a single voice, is that it was the Israeli houses that were to blame. It is not Cain's fault that he kills. It is Abel's fault that he builds.

Of the three kidnapped and murdered boys, two Israeli and one American, Jodi Rudoren of the New York Times wrote, "Palestinians... see the very act of attending (school) yeshiva in a West Bank settlement as provocation."

Abel is forever provoking Cain who rises up and kills him. And if only Abel hadn't had so many sheep, if only he hadn't built so well, if only he hadn't made the desert bloom, if only he hadn't won so many wars and if only G-d didn't appear to favor him.

Cain sows fields of corpses of the innocent for the Lord and he still does not understand why his sacrifice is not accepted and why the earth he dwells on is cursed.

Abel does his best to appease Cain with gifts of earth, but the earth is useless to Cain. What good is cursed earth to cursed men? What can a man plant in the desert? What can he harvest when everything dies at his touch? All he can offer is a harvest of death.

That is what he brings to the faintly remembered Creator he calls Allah. From Iraq to Iran, from Kuwait to Saudi Arabia, from Nigeria to Somalia, from Pakistan to Indonesia, he holds up human heads and cries, "Allahu Akbar."

As if G-d needs such petty proofs of superiority.

Cain cannot be appeased with earth. The earth is his curse. All that lives hates him and he hates all that lives. He tortures animals and raises dead crops. He kills his daughters and sisters, his mother, the source of his life and the source of his future, for the same honor that made Cain the first killer.

There is no use negotiating with Cain. There is no compromise that he will accept. Cain is his own curse. He loves death and that is all he will ever have. His acolytes cry, "We love death, you love life."

Cain was meant to wander the earth. To be a rootless nomad whose curse of death would not collect in any single place. He was not meant to build kingdoms of death. He was not meant to rule over a Caliphate of death and a culture of death.

There is no room for Cain anywhere. Where he remains there will be death and suffering. He will kill because it is all he can do. He has nothing else to offer the world, his own kind or the Creator.

The curse of the earth that he brings can only be lifted when he is removed from it. Only when Cain is driven out, will the land come into its fullness, will the people know peace and will the shadow lift from the valleys, mountains, rivers and cities of the land.

Cain seeks sympathy in his wanderings. With bloody hands, he pleads his case. Every one of his victims made him do it. From the east to the west and the north to the south, they all started it.

He kills from one end of the world to the next and it is never his fault. Each time, each Abel did it.

That is why the Lord put the mark of the killer on Cain's forehead. All were meant to know what Cain was and to move him along, prevent him from settling down, becoming offended and killing over his long lost honor, and then beginning a war that would lead to his own death and the deaths of others.

Cain was not to be killed. It was no use killing him because all men have a little Cain in them. The curse of Cain infects in many forms. Nazism, Communism and Islam are only a few examples of the disease. Instead Cain was meant to be a living example of the futility of evil. His accursed nature made him into a living symbol of death. Each thing he touched would be cursed by his existence.

When we remember what Cain is, when we know what his signs, the swastika, the sickle and the crescent, represent, then he is no threat to us.

We move him onward, we cast him out and drive him away before he kills us and we kill him and the cycle of bloodshed that he starts everywhere he goes begins again.

It is when we forget that he becomes truly dangerous. When Abel and Cain cannot be told apart, then Cain can pretend that he is the victim and that Abel was the killer. The blood soaks into the earth and he washes his hands of it and pretends that he knows nothing about it. Men begin playing detectives, they search for the root cause of Cain's crimes and try to understand what provoked him this time.

But even when the Lord does not speak to men, the blood can still be heard crying from the earth. A thousand years of blood, the blood of men, women and children from every race and every part of the world.

Cain has made a mountain of corpses. His Caliphate was built on bones. His code is cruelty and his holy book is written in blood on the flayed skins of his murdered victims.

A thousand years of blood calls from the earth. The cries of peoples long vanished from the earth warn us that we will either drive out Cain or his curse will fill our lands with blood and dust and all that we love and all that we have worked for will die at his cursed touch.

Daniel Greenfield is a New York City based writer and blogger and a Shillman Journalism Fellow of the David Horowitz Freedom Center.

 

Tuesday, July 1, 2014

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