Friday, August 30, 2013

LES JUIFS SONT PALESTINIENS ET LES ARABES DES ARABES

Golaniwarrior : Une erreur typique que même les Israéliens commettent et qu'il faudrait rectifier est d'appeler les Arabes locaux « Palestiniens ». C'est donner aux Arabes des munitions qui sont alors utilisées pour délégitimer Israël. Cela correspond à dire : « Oui, nous sommes d'accord avec vous. Vous étiez ici avant nous. C'est votre pays et nous vous l'avons volé ». Car c'est en fin de compte ce que dit la légende arabe et si le monde et Israël continuent à définir les Arabes comme « Palestinien », nous jouons leur jeu.

Golaniwarrior : Il est temps de faire une mise au point et d'arrêter de définir les Arabes comme « Palestiniens ». Beaucoup d'Arabes qui vivent en Israël et aux environs, voudraient faire croire au monde qu'ils sont les descendantes des Cananéens et/ou des Philistins (pour l'instant, ils ne se sont toujours pas mis d'accord quant à leur origine). Mais en fait, peu importe. Même s'ils venaient à descendre d'une de ces deux racines : ces deux tribus n'existent plus depuis environ 5 000 ans.

Golaniwarrior : Ensuite, il est intéressant de noter que la plupart des Arabes de la région sont musulmans. Quand on sait que le judaïsme a existé depuis plus de 5700 ans (c'est un fait, pas exactement sous sa forme actuelle), le christianisme est vieux de 2000 ans, mais l'Islam n'a fait son apparition qu'au VIIe siècle. Il est alors juste de se poser la question : mais qui sont ces Palestiniens ?

Golaniwarrior : Si les Arabes ont commencé à se définir comme Palestiniens, c'est tout simplement, car ils n'ont absolument aucune identité par rapport à cet endroit. Ils sont originaires de la Jordanie, de l'Égypte, du Liban et autres, mais pas de cet endroit précis. On n'a pas besoin de faire beaucoup de recherches avant de constater que la lettre « P » n'existe pas dans l'alphabet arabe et encore moins le mot « Palestine ». Et que le nom « Palestine » a été créé par l'Empire romain. Les Romains ont donné ce nom au pays après l'avoir conquis, environ en 75 et donc au moins 600 ans avant la naissance de l'Islam. Le nom de Palestine s'est surtout généralisé après la défaite de Bar Kokhba en 132.

Golaniwarrior : Le mot « Palestine » est inspiré des philistins qui étaient un peuple qui existait dans la région à l'âge de fer (environ 1175 avant notre ère) et qui a envahi la Judée. Les mauvaises langues disent que si les Arabes ont choisi ce nom, ils ont fait là un choix tout à fait adapté. « Avant 1967 il n'y avait aucun article de journaux ou autre qui parlait des Arabes comme "palestiniens". Le conflit au Moyen-Orient était tout simplement connu sous le nom de conflit israélo-arabe et non comme conflit israélo-palestinien ».

Golaniwarrior : Avant la renaissance de l'État d'Israël, en 1948, le seul peuple qu'on appelait « palestinien » était le peuple juif. Pas le peuple arabe. Qui de plus est, les Arabes ne voulaient pas qu'on les appelle « Palestiniens », car ils ne voulaient être associés ni aux juifs ni à l'État britannique de la Palestine. C'était une insulte. Si on appelait un Arabe « Palestinien », on se voyait répondre un truc du genre : « Du calme, je suis Arabe ! Je ne suis pas Juif ! ».

Golaniwarrior : Les Arabes qui vivaient dans la région sont devenus « palestiniens » après la guerre des Six Jours en 1967. Avant cette période, lorsque la Judée, la Samarie et Jérusalem étaient occupés par la Jordanie et que Gaza était occupé par l'Égypte, aucun Arabe ne se voyait « Palestinien ». Même Yasser Arafat, le si fameux « Palestinien » et ancien leader de l'OLP n'est pas né « Palestinien ». Il se définissait comme « réfugié palestinien » alors qu'il était né au Caire et a parlé toute sa vie l'arabe avec un accent égyptien.

Golaniwarrior : Il a fait son service dans l'armée égyptienne, a étudié à l'université du Caire où il a habité jusqu'en 1956. Il n'a jamais été réfugié de quoi que ce soit et il n'était même pas originaire de la région en question. Le nom complet d'Arafat était Mohammed Abdel Rahman Abdel Raouf Arafat al-Qudwa al-Husseini. Le nom de famille Al-Husseini indique que sa famille venait à l'origine de la Jordanie.

Golaniwarrior : Avant la fin des années soixante, le terme « palestinien » était utilisé par le monde entier pour définir les juifs. Pour tout le monde, tous les médias, tous les politiciens, Palestine était un autre mot pour désigner Israël, tout comme Kemet est un autre mot pour désigner l'Égypte. Jusqu'en 1950, le journal Jerusalem Post s'appelait tout bonnement Palestine Post.

Golaniwarrior : Le périodique pour l'Organisation Sioniste d'Amérique (Zionist Organization of America) s'appelait « New Palestine ». La banque israélienne Leumi s'appelait « Anglo-Palestine Bank ». La compagnie d'électricité d'Israël s'appelait : Palestine Electric Company. On trouvait « Palestine Foundation Fund » et « Palestine Symphony Orchestra ». Toutes ces entreprises, toutes ces organisations étaient dirigées par des Juifs. Aux États-Unis, la Jeunesse Sioniste chantait « Palestine, my Palestine », « Palestine Scout Song » et « Palestine Spring Song ». Les Arabes savaient pertinemment que « palestinien » voulait dire « Juif », tout simplement. C'est bien pour cette raison qu'ils ne voulaient pas qu'on les appelle comme ça.

Golaniwarrior : Puis tout d'un coup, après la guerre de 1967, les Arabes se sont dits Palestiniens. L'idée est venue des experts en relations publiques du KGB de l'ex Union Soviétique. Le plan et la campagne ont été préparés et orchestrés par l'Institut d'État des Études Orientales dont le leader était Levgueni Primakov. Primakov était espion, parlait très bien l'arabe. Il avait travaillé dans différents pays arabes en se faisant passer pour un journaliste pour le journal soviétique Pravda.

Golaniwarrior : Les médias du bloc soviétique ont donc commencé à pleurer les « pauvres palestiniens » et « les méchants juifs qui ont volé le pays de ces pauvres palestiniens ». L'idée des « pauvres palestiniens » fut rapidement reprise par les médias de gauche, surtout pendant la période des années 68, période propice à ce genre de propagande, et après trois ans de matraquage médiatique, l'égyptien Yasser Arafat fit un discours passionné dans les universités européennes et à l'ONU en expliquant comment lui, un « Palestinien d'origine » s'était vu voler son pays et être humilié par ces « khazars de juifs ».

Golaniwarrior : Le « peuple palestinien », venu de nulle part s'est petit à petit installé dans le vocabulaire et dans la compréhension européenne. Soyons honnêtes : tout ceci a bien marché tout simplement, car cela allait contre les juifs. Si l'Union Soviétique et les Arabes avaient essayé d'expliquer au monde que les « Spaniards » avaient volé l'Andalousie aux indigènes. Tout le monde en aurait ri. Mais quand il s'agit des juifs…

Golaniwarrior : Ne nous leurrons pas. Les Européens n'ont jamais aimé les juifs et ils ont donc rapidement accepté cette histoire du « pauvre peuple palestinien éjecté par les juifs ». Israël s'est lancé dans une campagne d'explication, mais n'avait pas les moyens de faire face à la machine de propagande arabo-soviétique bien épaulée par les médias de gauche et par la mentalité des années 68. Surtout qu'il leur fallait travailler dur pour développer ce nouveau pays tout en étant en guerre. Israël ne pouvait pas se faire entendre.

Golaniwarrior : Donc aujourd'hui, nous avons des Arabes qui se définissent comme « Palestiniens » et qui pleurent, car « les juifs ont volé leur terre ». Et donc, lorsque je vous dis que : « Les juifs ont volé la Judée aux Palestiniens », c'est une phrase qui a un sens, pour vous ? Ça ne vous fait pas tiquer quelque part ? Vraiment ? Mais alors, pourquoi continue-t-on à appeler les Arabes « palestiniens » ? Tout simplement parce que, encore une fois, Israël et les juifs ont choisi le compromis pour avoir la paix, pour calmer les choses.

Golaniwarrior : 51 attaques terroristes sur Israël pour le seul mois d'août 2012 nous donnent une idée du succès de cette politique du compromis. Vous aussi, apprenez à vos amis à utiliser les mots justes : les Juifs sont les Palestiniens, les Arabes sont les Arabes, conclut Golaniwarrior.

Reproduction autorisée avec mention :

M. Garroté réd chef www.dreuz.info

Et Sources :

http://golaniwarrior.com/717/le-jour-ou-les-arabes-sont-devenus-palestiniens/

http://www.think-israel.org/mandelbaum.arabsnativesoraliens.html

(1) THE ARABS IN THE HOLY LAND – NATIVES OR ALIENS ? – by Dr. Harry Mandelbaum. Prior to 1967, no news headlines ever referred to Arabs as « palæstinians ». The Middle East conflict was known as the Arab-Israeli Conflict and not the « Palestinian » – Israeli conflict.

A propos de l'article ci-dessus, Nicolas Eliahou de 'Ami Artsi, écrit (extraits adaptés) : La Jordanie, contrairement à l'Egypte, n'existe que depuis le 20è siècle et les Arabes de Jordanie ne venaient pas non plus de Jordanie. Même l'Egypte n'a pas toujours été arabe. Elle a été conquise par les Arabes au 7è siècle. Les Arabes sont un peuple qui a une origine précise, ce peuple s'est étendu par sa conquête et sa détermination impérialiste, c'est lui qui a pris possession des autres pays (Moyen-Orient, Afrique du Nord) et les a volés aux autres peuples (Egyptiens antiques, aujourd'hui Coptes, Berbères, etc.), pas les Juifs. Ils essaient aujourd'hui de faire pareil avec Israël, mais en accusant les Juifs d'agir comme ils ont, eux, coutume de le faire.

 

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Tuesday, August 13, 2013

HAPPY BIRTHDAY PAT METHENY

Getting a start on the

celebration.

 

Happy Birthday Pat.Metheny

 

Here he is with Herbie Hancock

visiting the Island, a trip you

don't want to miss.  

 

Video:

 

http://www.jazzonthetube.com/page/7011.html

 

 

Friday, August 9, 2013

JERUSALEM FOLK CLUB THURS AUGUST 15

This week was the beginning of the Month of Elul, and the prayers called
Slihot for the Sepharadim. Asking forgiveness. We want to ask forgiveness to
all our friends on the lists we moderate.



Anyway, Elul is about love, and you will hear beautiful love songs in
Hebrew, English and French. ALSO TRIBUTE TO GEORGES MOUSTAKI.

His best love songs.

The best songs of Bob Dylan, Mark Knopffler, Neil Young, Eric Clapton, the

beautiful song Leonard Cohen took from the Prayer Book of Rosh Hashana " Who
by fire, who by water". And also our new compositions, of course.

Here is our Hebrew version of " Romeo and Juliet" music written by Mark
Knopffler.

http://www.youtube.com/watch?v=T7vPj8HdV0s


Like usual we will have a Sing-a-long with the best compositions of Rabbi

Shlomo Carlebach.


We have some new talents who joined the Club, Eliah Cohen singing and
playing " Stairway to Heaven", and Daniel Ecaber in his wonderful
interpretation of " Message in a bottle", by Sting, and more. Also Bruce
Brill on banjo and violin!

With the home band playing clarinet, harmonica, piano jazz, percussions
,guitars, and ...shofar.

When? Thursday August 15, from 19.30

Party? Yes it is the birthday of Eli, no entrance fee, bring a drink or
something if you wish.

Where? Tshernikovksy 36 Knissah daleth, Rasko, not far away from the
Jerusalem Theater.

Infos? David 054.5999228.

Also if you want to play at the Jerusalem Folk Club this year 5774

http://www.davidorbach.com


David plays Flamenco


http://www.youtube.com/watch?v=8p3nW8IIEdk


Adieu la France Adieu l'Algerie


http://www.youtube.com/watch?v=h8DMZviO6J0&list=UUqZ_aaluuNxoj4ox5CJ7PnA&in
dex=1&feature=plcp




SHANGHAI COMMUNITY

Une synagogue sur la route de l'opium
par Mylène Sebbah
La petite communauté juive de Shanghai a laissé son empreinte sur la ville dont la grande Synagogue, Ohel Rachel fut construite au début des années vingt alors que la communauté, à son apogée, était riche et prospère.

Les Juifs Baghdadi de Shanghai n'ont probablement jamais dépassé les huit cents à neuf cents âmes, un chiffre peu en rapport avec les bâtiments et institutions religieuses qui témoignent de leur présence dans cette ville portuaire de Chine.
 
La première synagogue connue, Beth El, fut construite en 1887; lui a succédé en 1921 la synagogue Ohel Rachel.
 

Située sur Seymour Road, (aujourd'hui Shaanxi Road), l'édifice a été conçu dans le plus pur style néo-grec de l'architecte londonien Bevis Marks.
 
L'intérieur, somptueux, était prévu pour contenir sept cents personnes ; l'arche, flanquée de piliers en marbre poli, pouvait contenir trente rouleaux de Torah.
 
Le bâtiment comprenait également un mikvé et les locaux de l'école juive de Shanghai.

C'est le 23 Janvier 1921 que le site a été inauguré et a pris le nom d'Ohel Rachel en hommage à Lady Rachel Sassoon, la défunte épouse de Sir Jacob Sassoon Elias – un riche philanthrope juif) .
 
En même temps que sa nouvelle synagogue, la communauté fêtait l'arrivée d'un nouveau chef spirituel, le rabbin W. Hirsch dont le long voyage l'avait fait passer par Hong Kong et Singapour où il avait fait forte impression.
 

"Je tiens à féliciter la communauté juive de Shanghai qui a su s'attacher un homme aussi intelligent que le rabbin Hirsch, a écrit un membre de la communauté de Singapour dans les colonnes d'un journal local.
 
Il a prononcé chez nous un discours extrêmement intéressant sur le sionisme et son travail portera probablement ses fruits dans un proche avenir". En fait, le rabbin Hirsch n'a pas fait long feu dans la métropole commerciale de la Chine orientale.
 

Rebuté par le style de vie opulent des Juifs de Shanghai, il disparut quelques années après.
Shanghai était alors le refuge des grandes dynasties commerciales de l'époque, dont la plus connue et la plus cossue était la famille de David Sassoon.
 
Bien que l'empire créé par David Sassoon et ses huit fils produise et vende toutes sortes de produits par le biais de la route commerciale triangulaire qui comprenait l'Inde, la Chine et l'Angleterre, l'opium était leur pilier, et en 1871, ils dominaient le commerce mondial de la drogue.
 
C'est peut-être cela qui finit par ébranler le rabbin Hirsch.

Des légendes relatent que certaines des dix tribus perdues émigrèrent vers la Chine mais les seules preuves physiques retrouvées d'une présence juive en Chine, remontent au huitième siècle.
 
À Shanghai proprement dit, les Juifs ne commencèrent à arriver qu'à la fin de 19ème siècle, probablement d'Irak, de Perse ou d'Asie centrale échappant aux persécutions religieuses en terre musulmane, d'où leur nom, Baghdadi.
 

Ceux qui avaient l'âme marchande, étaient attirés par le parti qu'ils pouvaient tirer des concessions commerciales acquises par les Britanniques après la Guerre de l'Opium de 1839 à 1842.
 
Dans les années 1920, Shanghai devint un refuge pour les Juifs ashkénazes fuyant la Révolution russe.
 
Ils sont suivis de près, à partir des années 1930, par une troisième vague d'immigrants juifs du Troisième Reich.
 
Les Japonais qui, à l'époque contrôlaient Shanghai, n'exigent pas de visa d'entrée dans la ville qui se gonfle de réfugiés jusqu'à atteindre le nombre d'environ 25.000 en 1943.
 

Ils sont internés dans un ghetto dans des conditions épouvantables mais les Japonais ne les livrent pas aux Allemands.
En 2002, la synagogue Ohel Rachel, tombée en désuétude, est placée sur la liste des monuments en péril par un Fonds international, le bâtiment est restauré.
 
Aujourd'hui, il abrite la Commission éducative de Shanghai et redevient
plusieurs fois par an, pour les grandes solennités, un lieu de culte juif.